J'incarne le Mal - Zéphy

Nom : Aucun.
Prénom : Zéphy.
Âge : Taisez-vous, enfin ! Comment voulez vous que je sache ? Je ne compte pas, moi !
Espèce : Dieu, quelle question.
Pouvoirs : [Pas plus de trois pour les humains, etc (à part sorcières et exceptions.)] Installer la discorde dans l'esprit des gens, détruire de mes mains des choses, voir à travers les murs, télépathie, contrôle de l'esprit des gens, invisibilité, invincibilité pendant trois secondes, obscurité, cauchemars.
Père : Tsk.
Mère : Tsss...
Monde de naissance : Que croyez-vous ? Le monde du mal !
Ville de naissance : Quelle question... Ostyria, bien sûr.
Arme(s) : Aklouos, lame des Ténèbres, dagues, et mes pouvoirs.
Signe distinctif : Ma tenue de chef des Krairnars, bien sûr. Et une longue cicatrice sur le bras.
Animal : Un tigre noir.
Caractère :
D'après les rumeurs, je suis colérique, rancunier, sans-pitié, cruel, égoïste, manipulateur, froid et légèrement drôle.
Couleur des cheveux : Bruns
Couleurs des yeux : Bruns aussi.
Style vestimentaire : Gothique.
Passé en prison : Oui, plein de fois !
Couleur de peau : Très pâle.
Tient le groupe de : Ministère de Zéphy, les Krairnars, et surtout, mon groupe de couverture, les Bars et Restos'.
Histoire :
Tsk. Pourquoi je vous raconterais mon histoire ?
Très bien. Si vous insistez.
Tout commença sur le Premier Monde, où régnait, à cause de cette stupide Syphonia, joie, amour et paix. Rien que de prononcer ces mots me font mal à la langue.  J'appartenais à cette imbécile, et j'avais décidé de me révolter. Je pris alors armes, et je me jetait sur elle. Le combat fut éternel. Pendant des millénaires, douleurs et cris appartenaient à ce monde. Puis, le coup fatal. Je lève mon épée, qui lance alors des gerbes de flammes et je l'abat sur Syphonia, ma soeur. Le monde alors trembla, très fort. Tout tremblait. Des constructions s'effondraient, les arbres s'écrasait lourdement au sol. Le bruit me fit très mal aux oreilles. Je ferme les yeux, et quand je les rouvrent... Plus rien. Du noir, et quelques étoiles. Que faire ? Je ne sais pas vraiment. Je me saisis de ma massue et la lance très fort. Mais rien. Pas un bruit. Juste elle qui tombe, et qui va sûrement se faire gober par des spectres. Mais non. Cette fois, un nouveau tremblement. Mais en beaucoup plus intense. Mes oreilles ne tiennent plus : ça vous montrera sûrement l'effet de la chose. Je m'écroule dans l'espace. Étrange. Moi qui pensait être invincible, c'est raté. Je m'évanouis, me réveillant plusieurs siècles plus tard. J'ouvre lentement les yeux : c'est étrange. Autours de moi, fleurs, joie, bonheur. Tout ce que je déteste, en gros. Je cours jusqu'à la construction la plus proche, qui s'avère être un palais. J'entre, et là. Cauchemars. Affreux. Syphonia se trouve sur un trône, en train de soigner ses petites fleurs. Elle ecarquille les yeux et dit :
-Que fais-tu ici, pauvre idiot ?!
-Je viens de me réveiller. Et tu devrais changer de place ton palais.
-Pourquoi c'la ?
-Car..
Je claquais des doigts, et le palais qui était blanc se retrouva noir, sang et terrorisant.
-Car je t'ai fait une petite place dans l'autre moitié du monde. Tchao !
-Je te déteste ! Zeph' ! Tu étais gentil, avant.
-Les temps changent, soeurette.
Et je me dirigeais vers le trône noir.
-Bientôt, mon heure de gloire arrivera. Mes serviteurs apparaitront, plus puissants que jamais. Les Krairnars.
-Non ! Les miens me préféreront. Ce sera... Les Mirakils.
Et nous dîmes ensemble :
-La guerre a débuté.
Mais là n'est pas la fin. Deux nouveaux dieux sont arrivés : Dorzan, le dieu du feu, et Sinazzia, déesse de la nature. Qui gagnera cet éternel combat ? Moi, bien sûr.